[RP DRUIDE STORY]

Toutes ressemblances avec des evenements et des peronnages existant sou ayant existés ne seraient que.....volontaire.





Quel con !
Putain mais quel con !
Des fois je me mettrais des baffes. Moi et ma grande gueule.
Bordel dans quel merdier je me suis encore foutu. Il y a pas à chier, j’ai le dont de m’attiré les ennuis.
Mon frère m’avait pourtant prévenu, juste avant que je ne quitte Les Pitons-du-Tonnerre. « Tu vas à Orgrimmar ? Tu va croiser la bas les plus grands héros de la Horde. Ça va te changer d’ici. Tu va enfin connaître ce que signifie le mot « aventure » . J’espère que tu reviendrais auréolé de gloire. Mais si Orgrimmar peut t’apporter la gloire, elle peut aussi t’offrir la mort. Certains quartiers sont mal famés, et les salopards prêts à t’égorger pour te voler les quelques pièces d’or que tu as sur toi sont légions. Méfie-toi. Sois vigilant et reste sur tes gardes. Ne fait confiance à personne et écoute toujours ton instinct de survie »
Mon instinct de survie…..
La gueule de mon instinct de survie.
Je me retrouve la, en plein milieu des profondeurs de Blackrock, avec un démoniste assis à coté de moi depuis 2 minutes et qui ne bouge plus, une trollesse prêtre qui n’arrête pas de répéter « On va crever, on va tous crever…. » en sanglotant, un guerrier qui sait barré je ne sais ou, et à mes pieds le corps de ce connard de voleur qui nous a emmené jusqu’ici.
Vu comment il est criblé de flèche, il ressemble plus à un porc-épic qu’à autre chose. Le pire c’est que cet abruti était le seul à connaître les lieux, et que maintenant qu’il est raide comme un piquet, nous sommes pommé au milieu de cet endroit qui grouille de nains. Quand ils vont nous mettre le grappin dessus, ça va être la curée.
Ah ! il a belle allure maintenant mon instinct de survie…
S’il me voyait, mon cher frère, dans quelle galère je me suis fichu, il me foutrait sont pieds au cul.
Il n’aurait pas tort.
Attention. Que les choses soient claires ! Je l’aime bien mon frère – Il s’appel Thobrak, c’est un druide respecté et écouté aux Pitons-du-tonnerre – Mais des fois sont air condescendant, sa grande gueule et son côté « donneur de leçon » m’irrite au plus haut point.
J’aurais dut me méfier quand même, quand je l’ai vu arriver ce voleur et son équipement pourris. Même ma grand-mère aurait tricoté une armure en laine bien moins miteuse que cette espèce de broigne en cuir toute détériorée, rafistolé de partout qu’il portait sur le dos. Et ses armes ne valaient guère mieux. Sa dague m’aurait sans doute refilé le Tétanos avant même d’avoir pu semer la mort et son épée à en croire l’état de son fourreau, ne devait plus tenir que par miracle.
Il s’était installé à ma table alors que j’étais tranquillement assis dans une des nombreuses auberges d’Orgrimmar entrain de siroter une cervoise fraîche. Instinctivement, j’avais posé ma main sur ma bourse de cuir accroché à mon flanc. Il avait immédiatement saisit mon mouvement et un sourire aux lèvres, m’avait dit « Ne t’inquiète pas pour ta bourse l’ami. Elle ne m’intéresse pas » Un voleur pas intéressé par une bourse ? Et quoi encore ! Je suis peut être un bleu, mais je ne suis pas tombé de la dernière pluie ! Pas intéressé par ma bourse ? A d’autres.
Comme s’il avait lut dans mes pensées, il avait sortit la sienne et l’avait vidé sur la table.
- Tiens regarde, j’espère que ça va te rassurer.
Des pièces d’or. Par dizaines. Plus brillantes les unes que les autres. Ce con avait réussit à me bluffer. D’aussi loin que je me souvenait, je n’avais jamais vu autant d’argent exposer à ma vue.
- Bordel, ou as tu trouvé tout ça, avais-je demandé, les yeux étincelants de cupidité
- Toi, tu es nouveau dans le coin pas vrai ?
- Euh….Oui, pourquoi.
- Comme ça ! As tu déjà entendu parlé des profondeurs de Blackrock ?
- Euh….non, c’est quoi.
- Un endroit situé dans la gorge des vents brûlants en Azeroth. Tout mon or vient de ces lieux.
- C’est pas la porte à coté.
- Non, certes mais on a rien sans rien. Je recherche quelques personnes de confiance pour me rendre dans cet endroit. J’y ai, comment dire, quelques « affaires » à y régler. Tu m’as l’air d’être un Tauren aventureux et plein de courage. Peut-être que tu pourrais m’y accompagner. Il y a de l’or à la clé. N’oublie pas.
De l’or, de l’or à la pelle. Du moins, naïf comme je suis, c’est ce que je m’étais imaginé.
Quel con.
Si j’avais su…
La suite vous la connaissez !
Non ?
Vous la connaissez pas ?
Bon, je vais vous la raconter alors, ça vous donnera une bonne occasion de vous foutre de ma gueule. Remarquez, je ne peux pas vous en vouloir, j’en aurais fait autant à votre place.
Je vais déjà commencer par me présenter, c’est la moindre des politesses.
Je m’appel Bremen, et je suis….un druide.
Oui je sais, vous allez me dire « un druide comme sont frère, comme c’est original »
C’est une vieille tradition dans la famille. On né druide, on vie druide, on meurt druide. Et ceux, de père en fils. C’est comme ça, on peux rien y faire.
Et n’aller pas parler au reste du clan familiale que vous voulez être autre chose que druide. Ça, c’est un truc a finir avec un coup de sabots au cul. Et le patriarche quand il cogne, il cogne.
Mais je m’égare. Revenons à nos moutons.
Nous sommes sorties ensemble de l’auberge, moi le regard perdu dans mes futures aventures, savourant déjà, un léger sourire aux lèvres, la tête que ferais mon « cher » frère quand il verrait le monceau d’or que je reporterai.
Cette fois, il allait voir ce qu’il allait voir.
J’étais bien décidé à lui montré de quoi j’étais capable, et à lui refermé sont clappé par la même occasion.
Fatale erreur !
Me sortant de mes rêves de gloire, le voleur m’avait dit :
- Des amis dignes de confiance nous attendent déjà à la halte du Thorium. J’ai juste quelques courses à faire et nous pourrons partir. Profites en pour chercher ce que tu va avoir besoin. Nourritures, boissons, composants pour tes sorts, etc… On se donne rendez-vous dans une heure ici même.
Et avant même que je n’ai eu le temps de dire quelque chose, hop ! il s’était évaporé.
Par réflexe, je contrôlais la présence de ma bourse à mes coté.
Elle avait disparue !
Le salauds !
Bordel de merde mais quel con je suis !
Je regardais autour de moi essayant de localiser ce fumier qui m’avait bien eu.
Rien !
Personne !
Et soudain sans crié gare, il était de retour devant moi. Ma bourse pendante au bout de son doigts décharné. Un sourire espiègle sur le visage.
- Tiens, je te la rend.
D’un geste sec, il me lança ma bourse et son faible contenu que je rattrapais en vol.
- Tu vois, si j’avais vraiment voulu te voler, j’y serais arrivé sans aucun problème.
Et en un clignement de paupières. Il avait de nouveau disparut.
Il faudra que je le tien à l’œil celui la !
La suite m’apprit juste que mes deux yeux ne me suffiraient pas pour le surveiller.


A suivre…..

Excellent !!

Héhé excellent Thob....sauf que...je sais pas pourquoi.....mais je le sens "moyen" ton scénario là


Mon pôôôôôôvre Bremen xD...mais bon...si il est ruiné...il demandera à son frère non ?



allez la suite

une druide story sans moi >.<

J'attends avec impatience la suite, je sens qu'on va encore bien rire!